p110 R graves « mythes celtes »
J’ai repris ces jours, un livre fort intéressant, « les mythes celtes » de Robert Graves, un poète et universitaire anglais.
Voici un extrait…
« En d’autres termes, Arianrhod est un avatar de Keridwen, la déesse blanche de la mort dans la Vie, ou de la vie dans la mort. Si bien que se trouver dans le château d’Arianrhod signifie se retrouver dans un purgatoire royal dans l’attente d’une résurrection »
Commentaires rapides
-Arian vient de Araign, araignée, une des racines fort possibles du mot rennes. Dès lors, le château mythique d’Arianrhod peut fort bien se dire « château de Rennes »….
-Keridwen est une déesse truie (cf St Antoine?). Et déesse de la mort dans la vie…cf Arcadie….!!!!
-résurrection…un mot adoré de Boudet…(cf chaudronde Keridwen)
Conclusion
Une fois encore, trop de coincidences pour ne pas voir un lien entre les racines profondes du celtisme (Boudet nous le suggère) et l’affaire rlc!
éphilim 3/4/20
Le réseau sanguin de la France ne se mesure pas en kilomètres car la mise en place des centrales d’énergie est bien plus ancienne que le système métrique.
Les proportions de l’Homme sont plus appropriées, selon l’adage qui dit que « tout ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas. Pour faire le miracle d’une seule chose ».
Plus que la Croix en Tau, la figure du Lys dans l’alvéole hexagonale de la ruche me semble plus intéressante à étudier sur le plan symbolique.
Merci AZOTh pour ce juste retour aux origine sacrées du Royaume de France. N’oublions pas que ce fut l’ami d’Henri Boudet, Joseph du Bourg, qui fut chargé par le prétendant au trône de France, Don Carlos nommé Charles XI, d’aller déposer, le 11 juin 1889 à Paray le Monial, un document solennel consacrant sa personne et la France au Sacré Cœur.
N’oublions pas, non plus, ce qu’indiquait le marquis Philippe de Chérisey au sujet du destin de la France et du symbole de l’alvéole de ruche.
Ne dit on pas que les abeilles naissent de la pourriture des entrailles de boeuf. Un retour au mithriacisme fort opportun en cette époque troublée qui préside au changement d’ère.
Re: Marie Madeleine : [A la demande de J-Panstouaux]
de garamus » 10 Avr 2020, 15:36
En 1928, Jean Epstein adapte une nouvelle d’E Poe(à sa façon), « la chute de la maison Usher »
On voit dans ce film une certaine Madeline. Elle est « confinée » dans une tour
![Innocent :innocent:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/innocent.gif)
![Smile :smile:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/smile.gif)
![Smile :smile:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/smile.gif)
Elle meurt puis elle renait. marrant, en ce jour! Lien vers le film,
https://www.cinematheque.fr/henri/film/ … stein-1928
Poe, Epstein, 1928, le lys et les crapauds
![Stuart :stuart:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/stuart.gif)
Re: CHERCHEURS A L’ANCIENNE!
de garamus » 20 Avr 2020, 12:21
De ce fait, le château d’aujourd’hui, par l’orientation de ses angles correspond bien à un temple solaire….Mais était il différent au temps des cathares? Un 15 août, j’écoutais le guide dans le château. Il dégoisait la théorie officielle, devant 100 personnes, qui dit,entres autres, que le château n’est pas cathare. Mais à la fin, je l’ai pris à part, le guide. Et là, le discours était tout autre. Il m’a dit qu’il était obligé par ses supérieurs de déclamer la théorie officielle. mais que pour lui, le château avait juste été rafistolé là où les murs avaient besoin. mais les substructures sont les mêmes. Son discours était bien plus intéressant en of. Il acquiesçait à la théorie de F NIEL.
De toute façon, les angles du château actuel indiquent un temple solaire. Et les angles, on ne peut pas les bouger!
L’altitude n’a aucune importance. C’est l’orientation nord-sud -est-ouest qui compte. Les angles associés forment des lignes qui pointent chacune vers le début de chaque signe astrologique. Ainsi, le soleil s’aligne sur chaque ligne, à l’entrée de chaque signe. Ok, Grominet?
Pour précision, le soleil est toujours à la même place (à quelques secondes près) au cours des millénaires, chaque jour.
La précession des équinoxes n’est pas concernée ici
de garamus » 20 Avr 2020, 15:52
Le 1er roi d’Arcadie fut Lycaon, un loup. Puis les ours prirent le dessus.
J’aimerais connaitre les grottes de Montségur comme vous. Pourriez vous dévoiler une photo si pas trop demandé?
: Les Bergers d’Arcadie
de garamus » 20 Avr 2020, 15:27
La guerre de 1618 phi de nombreuses brêches(positives) dans l’espace temps humain…
Pour la symbolique de l’étoile dans la pomme, il est bien de savoir que… »Sur une période de huit années, les boucles de rétrogradation de Vénus dessinent dans le ciel une étoile à cinq branches, le pentagramme associé aux cinq éléments qui est employé dans les rituels de magie, ou bien encore une rose à cinq pétales, la rose mystique symbolisant la renaissance. » (tiré de http://astroculture.blogspot.com/2012/0 … it-de.html)Donc la pomme peut s’apparenter à vénus, planète de l’amour, appelée aussi étoile du berger ou…bergère.
La vénus du matin est aussi appelée Lucifer. Et celle du soir Hesperos…à comparer avec le nom d’Hesper aza et son blason aux 3 pommes bleues. Et aussi au berger Paris qui donne la pomme d’or à Aphrodite, autre nom de …Vénus…
La couleur de Vénus étant d’or la nuit et bleue le jour…
Et Vénus forme donc une étoile-pentagramme avec ses rétrogradations..et une pomme (planète) par sa forme.
Re: Les Bergers d’Arcadie
de garamus » 21 Avr 2020, 18:59
La pomme de pin pourrait bien avoir un sens complémentaire…surtout comme symbole de la glande pinéale, mystérieux « pépin » au centre de la tête
N’oublions pas aussi, que le graal est le sang de Jc en un sens, et en un autre l’émeraude tombée du front de Lucifer, là ou se situe le 3eme oeil des hindous, celui qui serait activé par la …pinéale. Lucifer qui signifie aussi « Vénus du matin » en opposition (complémentire) à Hesperoza ou Hespérides, Vénus du soir
Re: Insolite ou étrange ???????
de garamus » 27 Avr 2020, 10:44
Robin Corbuthion a écrit:
Bonjour Garamus,Saint Georges terrasse le dragon et il est souvent représenté à cheval …
Saint Michel Archange terrasse le diable ou Satan, il est toujours à pied avec une épée ou une lance (fête le 29/09)Rien de toutes ces horreurs ne sont dues au hasard (le hasard n’existe pas !) …
Tout est question de providence et il ne se passe rien que Dieu ne permette …Il existe dans le monde surnaturel des combats acharnés entre les Anges et les démons …
Des combats par lesquels, les anges déchus utilisent les hommres ici-bas pour combattre ..
.
Des combats sur des lieux particuliers .. ou même sur des dates particulières …
Par exemple :
17 JANVIER : Apparition de Pontmain en 1871 …Hercule
Salut Hercule, l’apparition de Pontmain est croustillante par rapport au 17 janvier. La Vierge est habillée d’or et de bleu…
« Elle apparaît dans un triangle formé par trois grosses étoiles d’or en plein ciel. »
Cette phrase est un extrait de ce site ,
https://www.sanctuaire-pontmain.com/Rec … ition.html
A comparer bien sûr avec les trois sphères d’or en triangle qui apparaissaient le 17 janvier autour de la tête de St Antoine à Notre Dame de Marceille (merci Hermès pour la photo), avant que le tableau ne soit déplacé.
Le triangle, Le bleu, l’or et la magie du 17 janvier! N’oublions pas qu’une étoile se cache dans le coeur de la pomme(sphère)!
Cette apparition converge parfaitement avec notre affaire. Et notre affaire signe la réalité de cette apparition!
Re: CHERCHEURS A L’ANCIENNE!
de garamus » 28 Avr 2020, 23:00
Philemon a écrit:Salut à tous les camarades,LA STÈLE PRÉCÈDE TOUT ET TOUT PROCÈDE DE LA STÈLE !Il ne s’agit pas de tolérance ou d’ouverture d’esprit quand on parle de la phrase bergère… il s’agit d’une anagramme, point barre. Après que l’on interprète les expressions trouvées selon son appréciation et ses envies, bien sûr !Mais l’origine de la phrase BERGÈRE ne peut se discuter, elle vient d’une, ou d’un, anagramme !Et d’une anagramme faite à partir d’un texte existant (la stèle de Blanchefort* !), il n’y a donc pas de mauvais anagrammeurs (Thy), il n’y a que des choix de mots au fur et à mesure que l’anagramme apparaît…Il y a de nombreuses autres anagrammes possibles à partir de la même stèle ou l’on peut mettre les mots dans un ordre différent ! Il est donc hasardeux d’affirmer que le résultat ô combien aléatoire de cet exercice intellectuel serait une machine de guerre pour décrire avec la précision d’une horloge force secrets millénaires !Quand il commence son anagramme, le codeur n’a aucune visibilité sur le résultat ! C’est donc après que son anagramme soit faite qu’il peut orienter l’histoire vers les secteurs qui sont apparus… Téniers, Poussin, le cheval de Dieu…On ne trouve d’ailleurs aucune notion de ces éléments dans l’affaire avant que ne paraisse le premier apocryphe en 1964 !Pour les parchemins, c’est autre chose… et c’est là qu’intervient la Jangada.Rappelle toi Pierre, c’est toi qui m’a dit un jour : « Franck Marie (je crois que tu parlais de lui…) m’a dit que le secret des parchemins se trouve dans la Jangada ! »Bizarrement, FM ne parle pas de la Jangada dans son livre sur les parchemins, mais du « Voyage au centre de la terre », je ne comprend pas pourquoi puisque l’on n’utilise absolument pas le Voyage pour le décryptage des parchemins, mais un code utilisé dans le livre La Jangada !Le code Jangada est un code Vigenère mais où l’on n’utilise ni grille, ni la lettre « W »… mais après on peut dire ce que l’on veut sur le nom du code utilisé !Pas de W, parce que l’action se passe au Brésil et il n’y a pas de W dans l’alphabet portugais, c’est à cause de l’utilisation d’une grille par les premiers décodeurs que l’on avait la notion de MORTEPEE + 1 (c’est assez technique, mais bon à savoir…)Pour la raison d’être des parchemins, je n’ai pas de preuves définitives, mais je pense qu’ils ont été réalisés bien après que l’on ait créé la phrase bergère… ce qui fait qu’il y aurait deux phases dans le cryptage :Stèle de Blanchefort >>>>>>>>> Phrase bergère. (anagramme)Mise en place de l’histoire avec les éléments pris dans la phrase… dans cette histoire et selon Pierre Plantard, il y a les VRAIS PARCHEMINS (dit parchemins de Saunière et qui seraient en Angleterre…)Plus tard (selon Gino Sandri, pour répondre à une attaque…) mise en place des FAUX PARCHEMINS où l’on va recoder avec un procédé très compliqué le résultat d’un code : la phrase bergère !Phrase Bergère >>>>>>> cryptage du grand Parchemin… (échiquiers, jangada, mort-épée, parchemin…)Philemon* je sais que l’on affirme que le texte de la stèle a été changé… il faut reconnaître qu’entre l’acte de décès de la dame de Blanchefort et le texte de la stèle, il n’y a pas beaucoup de différences…
Bonsoir Philémon,
Ton travail est conséquent et intéressant d’un point de vue pédagogique.
Mais quelques remarques…
1)Dans l’absolu, la phrase « bergère » peut même avoir été faite avant la stèle. A ce propos, peux-tu me donner l’adresse de « la stèle précède…. »?
2) La date de décès de Marie de…est très incertaine. Voir étude de Léa Rosi. Aussi, L’épitaphe pour moi est clairement inventée vers 1905 et répond à un cahier des charges conséquent. code mortépée + d’autres codes éventuels… Il ne faut pas oublier non plus les travaux de simple-curieux qui démontrent à priori une forte imbrication avec la carte Boudet.
Et on peut même se poser la question pour les autres documents. Simple curieux montre des croisements entre ces documents (la dalle, parchemins, pierre coumesourde…) et la carte Boudet assez troublants. A se demander si tout n’a pas été fait en même temps??? et ressorti des décennies plus tard du dossier PP??
Le cahier des charges devient plus lourd, alors…surtout si la phrase « bergère » est millimétrée comme je le pense…Ce qui expliquerait les fautes et lettres délaissées parfois.
N’abusons pas non plus . Il semble que le Grand parchemin, qui permet la « souplesse » du système, comme tu dis, ne s’imbrique pas au niveau du texte avec la carte Boudet. Il n’empêche que les paramètres sont nombreux et que tout cela est un travail très élaboré à mon avis, avec cette carte Boudet qui complique les choses..
Et le petit parchemin, avec sa ligne des T et le mot Sion(comme tu le cites dans ton livre) est aussi plus compliqué qu’on croit.
Tout cela sans compter les codes transverses, entre docs, qu’on ignore encore?
Je conseille de l’humilité face à tout cela. Juger trop vite est très casse-gueule… Mais si facile… il faut quelques secondes pour écrire que c’est faux mais tellement d’heures pour essayer de s’y retrouver et faire une analyse objective!
Mais merci, Philémon pour ton approche.
J’essaie juste de voir l’ensemble et sa coordination.
Tu pourras me répondre que ça ne change rien à ton « systeme » Stele- »bergere » dans l’absolu. mais je trouve bien de réunir le t
Philémon dit » pas mal de faits me laissent penser que les parchemins sont « un canular » ajoutés au plan initial de PP qui devait se limiter à la phrase bergère……
Pour l’élaboration de son mythe, il avait besoin de la phrase Bergère, je n’imagine pas qu’il puisse polluer son codage avec une usine à gaz superflue… genre PAX 681 pour lier les parchemins à la phrase bergère. »
Philemon
P.S « La stèle précède tout » : j’ai retiré de Facebook certains textes, notamment ceux sur le caractère original (dans le temps) de la stèle, ils feront partie d’un travail plus large sur la mise en place du processus à travers les apocryphes et les textes fondateurs.
Il reste disponible, celui sur le « stèle de Léa Rossi » :
[url]https://www.facebook.com/notes/rennes-le-ch%C3%A2teau-compl%C3%A9ments-denqu%C3%AAtes/cest-st%C3%A8le-que-jaime-/1567970866656117/[/url][/quote]
Merci pour cette réponse, Philémon
Pour l’antériorité de la stèle ou de la phrase » bergère », c’était juste pour bien préciser les choses. J’y reviens plus bas.
Pour tout le reste, je retiens 3 possibilités (principales) conciliables avec ce que tu dis,
1) PP a fabriqué les documents ‘(sauf stèle). Tout est faux ou détournés de la vraie énigme
2) PP prend pour support la stèle et fait un montage tout à fait valable pour préciser certains contours de l’énigme
3) PP ressort tout simplement des éléments bases de l’énigme qui étaient réservés jusque-là à des sociétés discrètes ou secrètes.
L’énigme, jusque-là, était vague. On parlait d’un curé qui avait fait des constructions coûteuses. De ce fait, ce curé avait sûrement trouvé un trésor…L’affaire était peu connue…Mais combien de châteaux ou de lieux où »souffle l’esprit » ont leurs archives archives secrètes, détenues par des « privilégiés »?
PP, semble -t-il avait un dossier. Pour résumer, il se dit « attaqué » à la fin des années 50 et pour des raisons logiques (certains savent ici) balance l’affaire de rlc. Celle normalement réservée à certaines sociétés secrètes. Qui correspond à la vraie affaire de rlc. Et qui complique énormément l’affaire apparente (le trésor du curé) car sa partie « hermétique » est très conséquente.
Il n’y a qu’à voir comme un livre d’alchimie est compliqué à décrypter….La vraie affaire est cryptée à travers des documents difficiles à comprendre et complémentaires les uns les autres. Mais ce n’est pas une usine à gaz.
Pour revenir à l’antériorité stèle ou phrase »bergère », disons que ce sont selon moi 2 éléments fondamentaux, qui ont été écrits en même temps car ils recoupent divers codes ou indications.
J’affirme que la phrase »bergère » est valide mais ne le prouverait pas. Chaque mot renvoie à des éléments précis… Qui plus est, un cryptage (non ésotérique d’ailleurs) a été découvert par un ami (qui fut sur ce forum mais qui n’y est plus). Le décodage envoie hors Razès(un lieu jamais cité) une partie de l’énigme, tout en étant lié malgré tout. Il éclaire la phrase aussi. Cela sera divulgué tôt ou tard.
Voici pour préciser un peu.
Nous nous comprenons, je crois, Philémon, sur la base. Rien n’est assurément faux, même si tu as des suspicions. Je pense l’inverse puisque j’ai des éléments qui me permettent d’affirmer que tout est valide(personne n’est obligé de me croire)
PP invente ..ou non. Telle est la question!
Celui qui dit que PP invente est incapable le de prouver à 100%!
Re: CHERCHEURS A L’ANCIENNE!
de garamus » 01 Mai 2020, 11:11
Bonne Fête de Belen à tous,
L’article de Léa Rosi est fondamental (salut Sylvain).
http://www.renne-le-chateau.com/document/document6.html
Il montre l’ »arnaque » de Bigou par rapport au décès de la marquise. Des pages sont changées, enlevées, les signatures de l’acte ne collent pas ou sont absentes. Charles Vidal est utilisé ou complice. si j’instruisais cette affaire, je dirais clairement que Bigou est coupable de faux! Tout est sulfureux. il faut vraiment étudier ce texte pour arriver logiquement à ce que conclut Léa Rosi «
A savoir s’interroger sur cet acte plus que douteux; Et le désir de Bigou (et ses copains?) d’instaurer cette date du 17 janvier dès 1781. La marquise n’est sûrement pas morte à cette date. Mais Bigou a transgressé la loi car il fallait un décès le17/1/ 1781 (1681 ) pour lancer une des bases de cette affaire. D’ailleurs, quand Gael dit que tout vient de Bigou, je ne dis pas qu’il a raison. Mais cette période est croustillante par rapport à l’affaire. On a sûrement joué à un drôle de jeu à cette époque.
Merci Léa pour cet excellent travail, fondamental dans l’affaire!
Re: Café de Rennes le Chateau:
de garamus » 08 Mai 2020, 11:44
Une pensée pour Jean Phaure.
De très jolies photos sur ce coucher de soleil du 8 mai, comme ici:
http://axes.unblog.fr/2018/02/17/axe-8-mai-11-novembre/
Re: Café de Rennes le Chateau:
de garamus » 08 Mai 2020, 17:17
Tout en sachant que dans la roue de l’année, le 8/5 et le 11/11 sont pile opposés; au jour près. Certains bâtisseurs du sacré se sont arrangés pour que les champs élysées suivent cet axe St Martin-St Michel. On s’est arrangé ensuite pour que les armistices soient calées sur cette avenue très hermétique.
Mais allez expliquer cela à une fille qui croit encore que les pyramides sont des tombeaux
![Biggrin :biggrin:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/biggrin.gif)
Re: Café de Rennes le Chateau:
de garamus » 09 Mai 2020, 14:52
Sachant que les mérovingiens en feront leur principal patron ou un de leur principaux.
» Quand Clovis attribua sa victoire de 507 à la protection de Saint Martin et Saint Hilaire, St Martin devint alors le saint patron des Francs »(tiré de https://orthodoxe-ordinaire.blogspot.co … re-de.html).
cf dessin de Chérisey avec l’épée qui coupe la France en 2…
-Les champs élysées sont dans l’axe Lever et coucher de soleil 8 mai-11 novembre
-dans la roue de l’année, le 8 mai s’oppose au 11 novembre…
-Les armistices sont ces jours-là. Sachant que l’Allemagne a fait une demande d’armistice le 4 octobre 1918…Cela laissant le choix pour la date…qui tombera le 11/11 (à 11h11)!
Derrière tout cela , il y a un phénomène astrologico-astronomique (d’amplitude également hermétique) qui fait que le 11 novembre ou autour, on a l’été de la St Martin vers le 11 novembre, 2 ou 3 jours de chaleur dans la froideur de novembre…A l’opposé vers le 10-11 mai, on a les saints de glace(froideur 2 ou 3 jours. On verra demain). Tu dois connaitre tout ça, Cardou…
- garamus
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Re: Café de Rennes le Chateau:
de cardou » 09 Mai 2020, 16:40
Village à visiter et surtout l’église qui est construite sur les deux départements 37 et 49Bon je ne vais pas te faire la visite –
![Flowers :flowers:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/flowers.gif)
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Re: Café de Rennes le Chateau:
de garamus » 09 Mai 2020, 18:59
Pour compléter (‘infos Jean Phaure):
1) l’axe de l’église du Mont St Michel est orienté sur le coucher du 11 novembre et le lever du 8 mai.(
2) l’axe ouest de Notre Dame (car le choeur est orienté un peu différemment)est comme les champs élysées. Coucher 8 mai et lever 11/11.
Tiens, tiens, l’axe des champs élysées épouse celui de Notre Dame!!! La vraie histoire, peu connue, c’est que les bourgeois et les jardiniers passent bien après certaines considérations hermétiques. Les éminences grises sont là et bien là;et mon 1) et mon 2) font que le 8 mai, le soleil se lève dans l’axe de l’église du mont St Michel et qu’il se couche dans l’axe (ouest) de Notre Dame (ou des champs élysées). Et c’est l’inverse le 11 /11!
8 mai et 11/11: Une vieille histoire sur la France
![Hello :hello:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/hi.gif)
Et ailleurs (l’été de la St Martin et les saints de glace)
Oui, il y a un calendrier sacré qui ouvrent certaines portes certains jours. Et les initiés honorent ces axes par des constructions orientées, qui s’enrichissent de rayons solaires spécifiques ces jours-là.-
de cardou » 06 Déc 2008, 22:09
Aetius-
Malheureusement comme dans toute l’affaire de RLC la légende du VRAI RONCEVAUX ne reste qu’une légende qui se colporte de génération en génération –
Avec Georges Kiess président du CERT nous avions parlé de cette légende, lui pense qu’il y a un certain fondement –
Georges a trouvé quelques peintures murales dans plusieurs églises ariégeoises qui tenteraient à donner du crédit à la présence de guerriers qui font pensés à Roland-
Il faudrait lui demander des explications, moi je ne m’en souviens pas trop –
T’ai je dit qu’a coté du Pas de la Roque il y à la Borde du Pape et la Serres de l’évêque ?
Curieux non ?
Pour les cartes il faut que je me renseigne –
Re: Café de Rennes le Chateau:
de hermes » 30 Mai 2020, 14:15
Hermès,
Pour résoudre une énigme c’est une cervelle qu’il faut, pas une paire de godasses …mais il vrai que ces dernières sont plus faciles à acheter …
Donc , la date …les faussaires … Nous t’écoutons .
Mais tu peux reconnaître t’être trompé, cela arrive à tous, et là tu ne m’entendras plus .
chante mon jauclin, chante !..
tu as une grande gueule mais moi je l’ai plus grosse que toi et en plus j’ai les épaules et les connaissances de cette affaire que tu n’auras jamais..
alors vas y « chante » !..tu m’amuse……
Pour la date elle serait donc changée récemment …quand ? explique …la date
Tu n’as pas répondu , vas-y qu’on rigole …
chante mon jauclin chante !…
si tu étais allé souvent au cimetière de rennes ce n’est pas difficile à comprendre…le probéme c’est que tu n’y a pas été au bon moment tu étais petit !…
sacré jauclin…..tu ne changeras donc jamais !..
Hermès,
Pour résoudre une énigme c’est une cervelle qu’il faut, pas une paire de godasses …mais il vrai que ces dernières sont plus faciles à acheter …
bien sur jauclin, ben sur !…en attendant prend ça dans les dents !….
et des comme ça j’en ai plein !…
voici LA TOMBE 1836 la vraie d’origine …avant que les charmants ne la trafiquent pour faire comme sur le livre de de séde on ne peut pas t’en vouloir, tu ne l’a jamais vue
voilà le livre de de séde duquel tu n’est pas encore sorti !..
(il faudrait en sortir maintenant si tu veux évoluer mon jauclin!)
et la magouille 1856 qui en découle
avec en prime l’acte de décés FEURY….tu vois mon jauclin les gens sérieux ils travaillent comme ça !…heureusement il reste encore quelques uns …
et je t’interdit de pubier ue seule de ces photos elles sont sous ©….si tu fais ça, je te fracasse !….ça t’apprendras à être si prétentieux !.. !…
Re: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par Thierry Espalion » 19 août 2020, 13:51
garamus a écrit :
Thierry Espalion a écrit :J’évoquais ma première observation dans la série « Plantard n’est pas le créateur de la phase Bergère ».
Dans le récit de l’excursion où apparaît pour la première fois la stèle de papier, 128 lettres constituent le paragraphe où il est fait mention pour la première fois de l’épitaphe :
« Une visite au cimetière nous fait découvrir dans un coin une large dalle, brisée dans son milieu, où on peut lire une inscription gravée très grossièrement. »
… 128 lettres !!!Cela ne prouve rien dans l’absolu mais additionné à tes autres remarques, c’est plus que troublant
D’autant plus que ce paragraphe est l’unique à être composé de 128 lettres !
Il y a de nombreux paragraphes dans le récit de l’excursion. Le seul et l’unique paragraphe, constitué de 128 lettres, est celui où il est fait mention de l’inscription !
Difficile, me semble-t-il, d’évoquer de bonne foi, une simple coïncidence.
Re: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par Thierry Espalion » 20 août 2020, 14:39
Puisqu’il est question de comptage, voici quelques observations au sujet du calvaire de Rennes-le-Château :
Des inscriptions associées au Christ et à la Croix, ont été gravées sur chaque face du socle :
CHRISTUS VINCIT
O CRUX AVECHRISTUS REGNAT
IN CRUCE SALUSCHRISTUS AOMPS DEFENDIT
AIMONS SALUONS RESPECTONS NOTRE CROIXCHRISTUS IMPERAT
IN CRUCE VITA
La mention du »souvenir de la mission » constitue un autre thème.Sur le calvaire de Rennes-le-Château, l’ensemble des inscriptions associées au Christ et à la Croix, est constitué de 128 lettres !
Autre observation :
Selon Philemon, la date 6/6 fait référence à la case F6 de l’échiquier, dans l’univers Plantard.
Or sur la »plaque du Souvenir », y est gravée la date du 6 juin… La date 6/6 se retrouve ainsi indiquée près des 128 lettres évoquées.
Nous pourrions également observer qu’en omettant les qualités de « Évêque de Carcassonne » et « Lazariste », le texte en français, sur »la plaque du Souvenir », est constitué de 128 lettres. Mais je reconnais volontiers que puisqu’il faut enlever les »qualités », cette observation est fragile.
Retenons simplement que les inscriptions associées au Christ et à la Croix, sont constituées de 128 lettres !
Re: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par Thierry Espalion » 18 août 2020, 23:36
« Une visite au cimetière nous fait découvrir dans un coin une large dalle, brisée dans son milieu, où on peut lire une inscription gravée très grossièrement. »… 128 lettres !!!Ce paragraphe est le seul et l’unique dans le récit, à être constitué de 128 lettre !
Café de Rennes le Chateau:
de Robin Corbuthion » 02 Juil 2020, 22:27
[nom supprimé à la demande de l'intéressé-P-M] a écrit:Bonjour,
Deux nouvelles études à connaître :https://www.rennes-le-chateau-doc.fr/Vi … l_1529.pdfhttps://www.rennes-le-chateau-doc.fr/le … _Bigou.pdfBonne et agréable lecture.
PM
Bonjour Patrick Meinsior,
Tes deux articles sont intéressants, mais pour Gabrielle Bigou, il te faut continuer à rechercher sur Sournia, en travaillant sur la succession de Gabrielle pour découvrir ce qui est passé pour l’exil d’Antoine, son frère …
Pour les cinq chercheurs de 1956, tes informations sont erronés …
René Descadeillas n’a pas participé à ces recherches … Il en a juste suivi le déroulement …
Idem pour le médium, M. d’Espeyronnat, qui jouait avec son pendule et donnait des indications plus ou moins heureuses …
Par contre, je ne me souviens pas que le Dr André Malacan ne m’ait jamais parlé de M. Cotte, comme participant à ces fouilles …
Je me souviens que le Dr André Malacan m’avait indiqué qu’il était accompagné de M. Brunon, opticien de Carcassonne (que j’avais eu deux fois au téléphone) ; M. Busque, entrepreneur de maçonnerie qui finançait les travaux (et que j’avais aussi eu au téléphone) ; et M. Rivals …
René Descadeillas avait fait entrer le Dr André Malacan, Brunon et Basque, à l’académie des Arts et sciences de Carcassonne, la même année, en 1956 … Le dénommé Rivals est entré lors de la séance suivante …
Tu trouveras certainement des commentaires complémentaires de René Descadeillas sur l’accueil des jeunes académiciens sur les bulletins de cette année 1956 ou 1957 …
Il est un peu ridicule d’établir un lien entre gaz dépouille de l’abbé Jean Bigou et le cadavre découvert par cette équipe en 1956 …
D’autant plus que grâce à Germain Blanc-Delmas, on en sait un peu plus sur l’âge de ce malheureux décédé d’un méchant coup de hallebarde sur le crâne, pour le désarçonner …
<message Néphilim 26/10/20
Les chercheurs qui travaillent sur les parchemins découverts derrière l’ancienne chaire de l’église de Rennes font fausse route.
L’une des principales clés de lecture des deux parchemins en onciales doit être cherchée ailleurs.
Nicolas Poussin en fournit une majeure dans l’autoportrait destiné à son ami Chantelou.
Le YENS du début de la deuxième ligne doit être mis en rapport avec celui figurant au début de la grille du Sot Pêcheur.
Il y a également lieu de prendre en compte les 64 lettres formant le texte illisible du pourtour de la grille mais surtout les 32 croix figurant dans le texte lisible.
C’est le Chemin de Croix du Sot Pêcheur qui doit être utilisé avec un peigne et un gril, c’est-à-dire une grille et un cadre type.
Cela constitue un commencement de décodage incontournable.
C’est pour cela qu’il est indiqué que « Poussin garde la clé ».
Par la suite, il s’agira d’opérer un glissement de 14 cases à partir du H de CURH (le H mis en exergue par l’abbé Boudet) car 14 correspond au nombre de stations figurant dans le Chemin de Croix de l’église de Rennes. C’est après cette opération que le mot CURH retrouvera sa signification normale de CURE.
La suite du décodage sera effectuée à partir du mot CURE grâce à la SEULE ANOMALIE réellement voulue par les prêtres décideurs, erreur volontaire glissée dans le Chemin de Croix, à savoir celle de la station X dans laquelle est représenté un Dé dont le marquage n’est pas conforme à la règle.
Cette anomalie décidée par le mentor de l’abbé Saunière permet de mettre en évidence la clé numérique : 10 , 7 , 5 , 14.
Les tableaux de Poussin, les deux parchemins en onciales, le texte du Sot Pêcheur et les deux pierres tombales de la dame de Blanchefort sont à associer. Le thème de l’échiquier et de ses 64 cases est suggéré dans l’épitaphe par l’association NEGRE et ABLE soit Noir et Blanc.
Les quatre lettres YENS sont visibles par tous, quoiqu’écrites dans un ordre différent, dans l’église d’Espéraza.
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Message par Nephilim » 30 oct. 2020, 18:11
Je ne tire pas de traits, mais me contente d’interpréter les messages cachés de ceux qui l’ont fait dans leurs tableaux. Il ne faut pas ironiser sur ce qu’on ne comprend pas.
Notez que le visage de la déesse qui est représentée en arrière plan de l’autoportrait pour Chantelou est exactement le même que celui de la bergère de la seconde version des bergers d’Arcadie de Poussin. Même visage de profil, même robe, même couleur de cheveux, le peintre ayant poussé le souci du détail jusqu’à figurer le diadème à l’oeil de l’autoportrait en disposant d’une façon très particulière le filet dans les cheveux de la bergère.
Il se trouve que si la déesse de l’autoportrait pour Chantelou est peinte de profil avec deux yeux, le second oeil de la bergère est également représenté sur la toile du Louvre. Mais ailleurs.
L’équipe des années 1950 était constituée de cinq personnes et non trois comme on le pense trop souvent. Les deux personnes ignorées des chercheurs actuels étaient des prêtres. Ce sont eux qui fournirent la matière utilisée par Gérard de Sède pour son livre initial et pour certains des documents déposés anonymement à la BNF.
L’essentiel de cette matière provient des archives de Henri Boisnormand de Bonnechose qui fut évêque de Carcassonne entre 1848 et 1854. Cet homme fut magistrat avant de devenir prêtre et c’est lorsqu’il fut procureur du roi aux Andelys qu’il fut destinataire de l’intégralité d’une correspondance privée entre Etienne de Lavallée-Poussin et son ami le peintre Hubert Robert. Tous deux fréquentaient l’Académie des Arcades à Rome et devinrent amis proches. Lavallée-Poussin était un petit-neveu de Nicolas Poussin. Hubert Robert, franc-maçon de rite écossais, faisait partie de la loge parisienne des Amis Réunis et c’est là qu’il rencontra François de Chefdebien d’Armissan avec qui il se lia.
Hubert Robert peignit en 1789 une étrange version des bergers d’arcadie avec la citation latine bien connue.
On ignore le détail de la correspondance entre les deux peintres mais, alors qu’il était directeur des oratoriens du collège de Juilly, l’abbé de Bonnechose demanda à son confrère l’abbé Constant de l’aider à résoudre une énigme liée au chandelier sacré du peuple juif. De Bonnechose ne resta pas longtemps professeur à Juilly et il se fit muter à Carcassonne dans un but précis. Il n’y resta que 5 ans mais semble avoir trouvé ce qu’il cherchait.
L’un des deux prêtres qui dirigèrent les travaux de de Sède effectua les même recherches que le cardinal Boisnormand de Bonnechose. Et ce n’est pas par hasard que Maurice Leblanc, dans l’un de ses romans à clés, associe Henri de Bonnechose au chandelier du temple de Salomon.
C’est de Bonnechose qui installa Arsène Billard sur le siège épiscopal de Carcassonne car le travail devait être mené à terme.
Il ne faut pas mésestimer le pouvoir des peintres. En particulier ceux qui sont cités dans la phrase aux 128 lettres. Lavallée-Poussin avait des informations sur son oncle et Robert celles provenant des Chefdebien. Les échanges semblent avoir portés leurs fruits.
Pour Delacroix, j’ai donné mon avis dans mon message sur le double codage Génésareth.
Le cryptogramme appelé « Sot pêcheur » fut grossièrement recopié sur un document provenant de la correspondance Hubert / Lavallée Poussin emprunté à l’un des deux prêtres en retrait en 1958. Il n’a jamais été trouvé dans la chapelle privée de l’abbé Saunière. Les quatre lettres du début de la deuxième ligne de l’autoportrait pour Chantelou sont une clé, je le répèt
: Décryptage des parchemins
Message par Nephilim » 03 nov. 2020, 18:31
Tout débute au 19° siècle lorsqu’un ami proche de Louis de Boisnormand de Bonnechose, mort pour le Roi lors de la révolte vendéenne de 1832, décide d’offrir à son frère Henri, le futur cardinal alors en poste au tribunal des Andelys, la copieuse correspondance épistolaire qui s’était tenue entre les peintres Étienne de Lavallée-Poussin et Hubert Robert.
C’est ainsi que le jeune procureur du Roi sera mis au fait du grand mystère qui résidait en Razès depuis de nombreux siècles.
Bien plus tard, le pape Pie IX, fort des archives vaticanes, apportera un précieux complément d’information concernant Nicolas Poussin à Henri de Bonnechose, devenu évêque de Carcassonne, ce qui lui permettra de faire opérer des recherches précises sur plusieurs secteurs très définis du triangle Arques-Rennes les Bains-Alet.
Henri de Bonnechose usera de toute son influence pour faire nommer son frère Émile bibliothécaire du château de Versailles. Il savait, qu’en cet endroit, se trouvaient des documents ayant appartenu au Duc Louis-Hercule-Timoléon de Cossé-Brissac, érudit et bibliophile, dont la bibliothèque avait été pillée au cours de la Révolution, après qu’il ait été lui-même mis en pièces par la foule déchaînée.
Parmi le fonds documentaire du Duc martyr se trouvait notamment la fameuse lettre de l’abbé Louis Fouquet à son frère, missive dans laquelle Nicolas Poussin est évoqué.
Hercule-Timoléon de Cossé-Brissac et Hubert Robert fréquentaient le même mystérieux cénacle à Saint-Germain en Laye.À Rouen, le cardinal Henri de Bonnechose laissera plusieurs témoignages de ses recherches audoises et il mettra notamment son vicaire général Arsène Billard dans la confidence, le chargeant de finir les recherches sur le ressort de l’évêché de Carcassonne dès 1881. Monseigneur Billard mandatera, dans un premier temps, le Jésuite Alfred Saunière afin d’opérer les ultimes investigations sur la région audoise mais son tempérament et sa conduite obligeront finalement l’évêque de Carcassonne à faire appel à son frère Bérenger.
Certaines familles de la vieille noblesse audoise étaient intimement associées à ces recherches.
Bérenger Saunière arrivera donc sur la cure de Rennes le Château en 1885, en service commandé, afin de terminer l’œuvre sacerdotale débutée plusieurs années auparavant. Le décès de Monseigneur Billard brouillera totalement le jeu et plusieurs laïcs (écrivains, hommes politiques et scientifiques) à la fibre ultra-républicaine, informés des opérations clandestines menées par les religieux légitimistes, mettront alors à profit l’arrivée de Félix Beauvain de Beauséjour et de son équipe pour lancer une opération de désinformation et de décrédibilisation très bien orchestrée. Force est de constater qu’ils y sont presque parvenus.
La Grande Guerre mettra un terme provisoire à cet affrontement, relevant à la fois du politique et du spirituel, et le calme règnera à nouveau sur la Colline durant presque quarante années. Le soleil radieux des années folles ne laissera alors percevoir les ombres du grand mystère qu’au travers les œuvres de certains auteurs de romans et les pitreries symboliques du cabaret du Chat Noir.
Ce n’est qu’à partir de février 1956 que la résurgence de l’affaire sera envisagée à Paris.
Quant aux lettres échangées entre Robert et Lavallée-Poussin, elles sont actuellement en possession d’une fort discrète congrégation catholique qui les conserve aussi jalousement que fermement.
Solis Sacerdotib
![Au sujet du Dossier Rennes le château - Page 6 Raynau10](https://i.servimg.com/u/f62/11/12/83/66/raynau10.jpg)
_________________
https://actu.fr/bretagne/ploulec-h_2222 … 46416.htmlEt cette sonorité celto-égyptienne (is-ys…ou LYS!!!…), ne la retrouve-t-on pas autour de ce pélerinage que firent de nombreux rois et autres personnages à Notre Dame de Liesse.., qui se prononce L’I-S
https://france3-regions.francetvinfo.fr … 31828.htmlEt bien sûr IéSous ne dépare pas dans tout ça!Oui, L’i-S. Sans compter, la liesse de la dive bouteille dyonisiaque
![Wink :wink:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/wink.gif)
Mystères de l’I-S, mystère de la liesse17/1Message par Thierry Espalion » 01 févr. 2021, 10
En attendant la suite annoncée, voici une autre observation concernant l’Haum-moor et la page 238 :
La disposition toute particulière des deux »Haum-moor » sur la carte induit une notion de DOUBLE. Il existe un autre élément en double sur la carte : le secteur du »Goundhill OU Sarrat Plazent » possède un double nom ! Ce secteur est également décrit en page 238. Nous allons constater qu’il semble exister un lien intéressant entre ces deux lieux.En plus d’induire une notion de DOUBLE par leur disposition sur la carte, deux »Haum-moor » sont aussi écrits page 238. La mention des Roulers en cette même page, suggère également la notion de double, puisqu’il y avait 2 Roulers, selon les précisions antérieures de l’abbé Boudet.Après l’évocation de l’Haum-moor page 238, l’abbé ne continue pas sa description précise directement vers le sud. Il omet d’évoquer précisément le Pech de la Roque. Il évoque la longue succession de roches »depuis la Col de la Sals jusques et au delà de la Blanque ». Il se projette donc tout d’abord vers le secteur qu’il nomme sur sa carte »Goundhill OU Sarrat Plazent ». Deux noms pour un même secteur … Nous retrouvons une nouvelle fois cette notion de DOUBLE !
![Image](https://nsa40.casimages.com/img/2021/02/01/210201012034368814.jpg)
Je constate, toujours en cette page, que l’abbé avait écrit »le NOMBRE des aiguilles naturelles » incitant ainsi son lecteur à les COMPTER.
17 et 17, une fois encore se retrouve la notion de double !La description de ce secteur a aussi été faite en page 238. Pourquoi l’abbé suggére-t-il cette notion de double ? En voici l’une des raisons :
238 est le DOUBLE de 119, azimut du lever du soleil le 17 janvier !Mais ce n’est pas fini, car cela se retrouve mis en pratique sur la carte :
L’abbé Boudet écrit également que cette longue ligne de roches aiguës est orientée du levant au couchant.
Ce faisant il induit une observation solaire! Il précise même »depuis le Col de la Sals … ». Ce qui semble constituer un point de départ !
Il pourrait donc être intéressant de compter les points à partir du Col de la Sals.Il s’avère alors que la ligne définie par la jonction entre les deux H des deux Haum-moor et le 17e point à partir du levant, est orientée suivant un angle de 119° correspondant au lever du soleil le 17 janvier !
![Image](https://nsa40.casimages.com/img/2021/02/01/210201074130186814.jpg)
Les deux éléments en double de la carte – les deux Haum-moor et le seul secteur de la carte ayant un double nom – se révèlent liés ! Et le 17e point définit cet axe associé au 17 janvier ! Encore une belle prouesse de notre abbéNéphilim 8/2Précisément, oui. Nostradamus indique bien que la ville de Blois occupe un rôle fondamental dans la cosmogonie hexagonale.
Et Crozant, dans le département de la Creuse, est également évoqué par Maurice Leblanc dans l’un de ses romans à clés.
Il s’agit en fait d’irradier, par spirale grandissante, au delà du secteur de Rennes le château qui ne constitue qu’un point névralgique de l’agencement hermétique de la France. Les correspondances s’établissent alors automatiquement selon l’axiome de la table d’émeraude.Néphilim, 9/2/21Je ne voulais que donner une explication concernant le tronçon de colonnette romaine inséré dans le clocher de l’église car il me semble qu’un chercheur souhaitait en savoir plus sur celui-ci. Tout cela relève d’un plan conçu par des ecclésiastiques de la fin du 18° siècle puis prolongé par d’autres au 19° siècle. Mais le fait est que des laïcs furent instruits du secret.
Il y avait un clou d’argent inséré dans le fût du pilastre romain et l’extrémité brillait à une certaine date de l’année afin de permettre un relevé topographique par triangulation.
![Image](https://nsa40.casimages.com/img/2021/02/09/mini_210209115635324690.jpg)
Il fut enlevé à l’époque où Bérenger Saunière était le curé du village
Re: Divers : églises – les fouilles – nostradamus
Message par Nephilim » 11 févr. 2021, 12:20
Je ne comprends pas toutes les curieuses réactions relatives aux indications que j’ai données.
Je vais tenter de mieux expliquer d’où provient le morceau de colonnette du clocher.
Il y avait, au départ, deux colonnes provenant d’un édifice sacré romain dans l’église. Elles avaient été employées, en récupération, lors de la construction de la chapelle carolingienne décidée par Guillaume de Gellone. Elle se trouvaient de part et d’autre de l’entrée du couloir menant à la crypte souterraine, au sud de l’église. Au 18e siècle, lorsque l’entrée fut condamnée par Jean Bigou à la demande expresse de l’évêque François de Bocaud, les deux colonnes furent alors récupérées. Elles n’étaient pas d’un seul bloc mais constituées de trois fûts de grès, percés en leurs centres et assemblés avec une tige de bronze centrale.
L’une des colonnes fut séparée en trois morceaux. Un tronçon fut fixé dans le clocher à la demande de l’abbé Bigou et les deux autres disposés en deux endroits bien déterminés de la région. Celui de l’église fut équipé d’un très gros clou d’argent et un autre, placé sur le sommet d’une barre rocheuse de Lavaldieu, également serti d’un clou brillant. Le troisième tronçon, celui qui supportait le chapiteau, placé horizontalement comme les autres, faisait office de viseur et se trouvait scellé sur un rocher du côté de Blanchefort. Depuis son emplacement, à une certaine époque de l’année, on pouvait alors « viser » et les rayons du soleil levant faisaient resplendir les deux clous. C’est le principe qui était gravé sur la pierre appelée de Coume-Sourde, mais qui fut en réalité découverte enterrée en contrebas de la Pique de Lavaldieu.
Par triangulation, il était possible de découvrir la grotte où se trouvait le dépôt des prêtres. La technique, héritée des chevaliers du Temple, était nommée « Scutum fidei praeconum ».
![Image](https://nsa40.casimages.com/img/2021/02/11/mini_210211122109814445.jpg)
Finalement l’auteur dans le dernier chapitre déclare que « la visite au Palais des Mirages est terminée »Le dit voyageur ne peut qu’être déçu par la visite ! à moins qu’il ne trouve le Fil d’Ariane dans le labyrinthe des symboles en suivant les « cours de code » dispensés dans tout l’ouvrage pour devenir ainsi un « noble voyageur ».
Ce qui est fascinant, c’est que ceux qui n’ont pas su « lire à plus haut sens » (et ne crient pas à l’escroquerie !) pressentent qu’il y a autre chose derrière la belle histoire. Ils ont l’intuition qu’il y a une « énigme » mais cherchent dans toutes les directions à raccorder des éléments disparates pour lui donner corps.
Il fut une époque récente où la région pouvait se targuer d’avoir le plus grand nombre de « siphonnés » au km2 de France, que n’eussent-ils compris le supposé avertissement de l’abbé Mazieres !
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Message par garamus » 07 mai 2021, 11:05
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D’autant qu’on peut aller plus loin au niveau du décodage, ce qu’a magistralement fait un copain(ça mène à un lieu). Je ne prétends d’ailleurs pas être au bout des codages de cette phrase mais sa richesse est incontestable. Et au lieu de débunker, cherchez!
![Tongue :tongue:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/tongue.gif)
Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par Charly Alverda » 14 mai 2021, 12:05
« Notre étoile est seule et pourtant elle est double. Sachez distinguer son empreinte réelle de son image, et vous remarquerez qu’elle brille avec plus d’intensité dans la lumière du jour que dans les ténèbres de la nuit. » (Fulcanelli)
On peut considérer les grains de blé des « épis froissés », et comme le « Frère Norberto » en placer 1 sur la la première case de l’échiquier, deux sur la deuxième, quatre sur la troisième, et 8 sur la quatrième (ainsi soit-il) Huit est le nombre d’Hermes (et du Christ).
1 + 2 + 4 + 8 = 15, nombre du Diable dans le Tarot, celui qui accueille le « voyageur » de l’église.
La « puissance » du nombre 8 fait que le jeu d’échecs se retrouve schématisé sous la forme du Poulpe ou de l’étoile à huit branches.
Message non lu par Aronnax » 15 mai 2021, 11:25
Bonjour à tous.
Comme promis à Garamus, ci-après quelques extraits d’articles dédiés à « l’Affaire des Deux-Rennes » tirés des magazines « L’Inexpliqué » des éditions Atlas 1982-1983.
Chapitre intitulé : » Bourges le creuset mystagogique de la France »
« Ces villes (Villes-sanctuaires gauloises) portaient généralement le nom de « Mediolanum », qui signifie « lieu central » ou « centre parfait », et on en a recensé plus de quarante. On sait depuis peu, grâce aux études pertinentes d’Yves Vadé, qu’elles constituent un réseau où chaque maille est reliée à plusieurs autres par des équidistances qui sont d’une extrême précision et ne laissent aucune place à la coïncidence fortuite. Ce système topographique complexe dérive de la volonté de rythmer l’espace naturel par des égalités et des symétries et répond au soucis non moins fondamental de rythmer le temps. De même que la maîtrise du temps est obtenue par l’observation du ciel, de même on parvient à la maîtrise mythique de l’espace en calquant sur des configurations célestes les points de repère de la géographie sacrée « .
« Tout se passe, indique à ce propos Philippe de Chérisey, comme si la France avait déduit son territoire d’un destin hexagonal de la Gaule, et non pas son destin d’un territoire hexagonal. Une telle hypothèse semblerait délirante si l’on ne voyait notre histoire politique dominée par des emblèmes hexagonaux que furent le chrisme reçu par Clovis, la fleur de lys reçue par les Capétiens, l’abeille reçue par Bonaparte. La France aurait-elle été une construction de l’esprit avant de devenir une réalité géopolitique ? «
Nous somme là en plein dans le développement du « Projet PPSC ». Et il est très curieux de constater que Philippe de Chérisey semble totalement y adhérer et se montre très pertinent dans son propos.
Autre extrait : » Philippe de Chérisey relate par exemple qu’au VII° siècle, une colonie juive, rapportant de Jérusalem un bassin hexagonal de jaspe rouge, vint exercer à la Chapelle-Saint-Ursin la profession d’apiculteur : est-il besoin de rappeler que l’enblème juif, le sceau de Salomon, est un hexagone étoilé ? « .
Le « Divin Marquis » fait très fort… et ne semble pas du tout mené par le bout du nez sur ce coup là
C’est en ce sens que ma vision de l’affaire des Deux-Rennes diverge de celle de Charly et de Philémon car je pense que la « forgerie », pour Hermétique qu’elle soit… et de haute volée en l’occurrence, est basée sur une réalité métahistorique dont l’origine remonte très loin dans le temps et est localisée (entre autres) sur le secteur de Rennes-les-Bains.
C’est le propos central de mon livre à venir : « Le Sanctuaire Oublié »
Sujet : Café de Rennes le Chateau:
Aronnax a écrit : ↑07 déc. 2021, 14:01 Bonjour à tous.Citation d’Albert Einstein :
« Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don. »Intuitivement, j’ai le sentiment que Guercino et Poussin ont évoqué le thème de l’Arcadie afin de faire référence à un « certain secret ».
Etaient-ils commandités… je le pense.Je ne peux que me questionner sur les choix artistiques de l’américain Louis-Bertram Lawrence au sujet du tombeau de sa mère et de sa grand-mère et, surtout, sur les motivations qui le firent s’installer aux Pontils en 1917… imaginez la région à l’époque
Il avait un boulot « en or » aux USA, habitait dans des villes modernes et y gagnait beaucoup mieux sa vie en tant qu’ingénieur. En plus, en 1917, la France était en guerreEt puis, je trouve que la tombe du dessin de Guercino offre une petite ressemblance avec celle des Pontils.
Re: L’énigme Saunière et son église ?
Message par Thierry Espalion » 11 janv. 2022, 20:57
Large de 22 mètres, la rue de Rennes mesure officiellement dans les 119 décamètres !
Au début du XXe siècle, il y eut un projet de prolongement de cette rue (déjà prévu lors de sa conception théorique) et de construction d’un pont en X, à sa nouvelle extrémité !
![Image](https://i.goopics.net/800/rv3olj.jpg)
Le fleuve constituant la branche principale du »Chrisme ».La numérotation des édifices de la rue de Rennes, commence au numéro 41 car le projet initial était de la débuter au niveau de la Seine. Lors de sa conception, l’idée était déjà de lui donner une longueur de 17,1 hm.par patrice » lundi 01 août 2022 10:44
Oui, tout est tout, tout est dans tout etc. Mais pour l’instant, tu es un être différencié, qui ne peut pas manger d l’arsenic ou de l’huile de vidange…Et comme tout le monde, tu as un corps invisible, que tu ignores, du fait de ta formation, où on t’a fait croire que l’invisible est inaccessible;
J’évolue depuis des décennies, dans un milieu où certains voient ce corps invisible, ou encore les décédés, avec lesquels ils parlent ou décrivent leur apparence, à des proches de ces décédés et sans les connaitre. Des gens comme ça sont assez courants dans le Razès mais les 2 pouvoirs, opposés bien que complices ( la laicité et le catholicisme, comme dirait André Savoret) veillent pour maintenir l’homme dans l’ignoranceTu évolues en 3D avec des raisonnements limités parce que tu restreins énormément le vrai champ où tu évolues. Le monde de la pseudo-science actuel raisonnant dans un jardin d’enfants et se croyant à la pointe. Il est de ce fait ultra manipulable. La miviludes est le pitbull qui maintient les occidentaux dans une illusion totale. Elle s’est chargée de flinguer JC, les cathares, de mettre le Padre Pio et d’autres mystiques à l’écart, pour mettre en place une doxa, où le miracle est interdit, la bilocation, l’aura, le caducée, la pinéale (surtout la tienne
![Biggrin :biggrin:](https://renneslechateau-fr.com/images/smilies/biggrin.gif)
Je préfère à ça la grandeur potentielle de l’homme et sa capacité, à travers de multiples vies, à développer ses pouvoirs divins. Le cercle de Tubingen, comme Max Heindel, et tant d’autres, évoluaient selon cette réalité, évidente.
Message par C. Alverda » 11 août 2022, 18:44
In robore fortuna ? Certes : , 12 occurrences du chêne chez Fulcanelli (il y en a d’autres !) :
« … L’artiste a cheminé longtemps ; il a erré par les voies fausses et les chemins douteux ; mais sa joie éclate enfin ! Le ruisseau d’eau vive coule à ses pieds ; il sourd, en bouillonnant, du vieux chêne creux [« Note ce chêne », dit simplement Flamel au Livre des Figures hiéroglyphiques.].Ce qui apparaît tout d’abord, c’est la portion volatile, conséquemment vivante, active, pleine de mouvement, extraite du sujet, lequel a pour emblème le chêne. C’est là notre source fameuse dont l’onde claire coule à la base de l’arbre sacré, si vénéré des Druides, et que les anciens philosophes ont nommée Mercure, quoiqu’elle n’ait aucune apparence du vif-argent vulgaire.Ici, la vérité apparaît voilée sous deux images distinctes, celle du chêne et celle du bélier, lesquelles ne représentent, comme nous venons de le dire, qu’une même chose sous deux aspects différents. En effet, le chêne a toujours été pris, par les vieux auteurs, pour désigner le nom vulgaire du sujet initial, tel qu’on le rencontre dans la mine. Et c’est par un à peu près, dont l’équivalent répond au chêne, que les Philosophes nous renseignent sur cette matière.
Seuls, les initiés au langage des dieux comprendront sans aucune peine, parce qu’ils possèdent les clefs qui ouvrent toutes les portes, que ce soient celles des sciences ou celles des religions. Personne n’ignore que le chêne porte souvent sur ses feuilles de petites excroissances rondes et rugueuses, parfois percées d’un trou, appelées noix de galle (lat. galla). Or, si nous rapprochons trois mots de la même famille latine : galla, Gallia, gallus, nous obtenons galle, Gaule, coq. Le coq est l’emblème de la Gaule et l’attribut de Mercure, ainsi que le dit expressément Jacob Tollius ; il couronne le clocher des églises françaises, et ce n’est pas sans raison que la France est dite la Fille aînée de l’Église. [Manuductio ad Cælum chemicum. Amstelodami, ap. J. Waesbergios, 1688.] Il n’y a plus qu’un pas à faire pour découvrir ce que les maîtres de l’art ont caché avec tant de soin. Poursuivons. Non seulement le chêne fournit la galle, mais il donne encore le Kermès, qui a, dans la Gaye Science, la même signification que Hermès, les consonnes initiales étant permutantes. Les deux termes ont un sens identique, celui de Mercure. Toutefois, tandis que la galle donne le nom de la matière mercurielle brute, le kermès (en arabe girmiz, qui teint en écarlate) caractérise la substance préparée. Il importe de ne pas confondre ces choses pour ne point s’égarer lorsqu’on passera aux essais. Rappelez-vous donc que le mercure des Philosophes, c’est-à-dire leur matière préparée, doit posséder la vertu de teindre, et qu’il n’acquiert cette vertu qu’à l’aide de préparations premières. Quant au sujet grossier de l’Œuvre, les uns le nomment Magnesia lunarii ; d’autres, plus sincères, l’appellent Plomb des Sages, Saturnie végétable. Philalèthe, Basile Valentin, le Cosmopolite le disent Fils ou Enfant de Saturne. Dans ces dénominations diverses, ils envisagent tantôt sa propriété aimantine et attractive du soufre, tantôt sa qualité fusible, sa liquéfaction aisée. Pour tous, c’est la Terre sainte (Terra sancta) ; enfin, ce minéral a pour hiéroglyphe céleste le signe astronomique du Bélier (Aries). Gala, en grec, signifie lait, et le mercure est encore appelé Lait de Vierge (lac virginis). Si donc, frères, vous faites attention à ce que nous avons dit de la galette des Rois, et si vous savez pourquoi les Égyptiens avaient divinisé le chat, vous n’aurez plus lieu de douter du sujet qu’il vous faut choisir : son nom vulgaire vous sera nettement connu. Vous posséderez alors ce Chaos des Sages « dans lequel tous les secrets cachés se trouvent en puissance », ainsi que l’affirme Philalèthe, et que l’artiste habile ne tarde guère à rendre actifs. Ouvrez, c’est-à-dire décomposez cette matière, tâchez d’en isoler sa portion pure, ou son âme métallique, selon l’expression consacrée, et vous aurez le Kermès, l’Hermès, le mercure teingeant qui porte en soi l’or mystique, de même que saint Christophe porte Jésus et le bélier sa propre toison. Vous comprendrez pourquoi la Toison d’or est suspendue au chêne, à la manière de la galle et du kermès, et vous pourrez dire, sans offenser la vérité, que le vieux chêne hermétique sert de mère au mercure secret. En rapprochant légendes et symboles, la lumière se fera dans votre esprit et vous connaîtrez l’étroite affinité qui unit le chêne au bélier, saint Christophe à l’Enfant-Roi, le Bon Pasteur à la brebis, réplique chrétienne de l’Hermès criophore, etc. »
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Message par patrice » 03 avr. 2023, 22:13
Ces nombres sont tous des anagrammes de 1,618 (nombre d’or) ou de la proportion dorée (0,618)
681 est particulier. 681= 3×227! Et le 227 est un code qui désigne 22/7emes. Et 22/7= 3,14 soit pi. Donc 681= 3 pi. Et 3 pi désignent 3 cercles. Et 3 cercles, c’est la triple enceinte druidique. (3 cercles , Keugant, Abred, Gwended).
Boudet, et d’autres cachent des géométries sacrées avec ces nombres. Il faut juste apprendre à les utiliser. C’est pour ça que je dis que Dans cette énigme, l’histoire est un piège souvent. Et les fondamentaux s’éclairent par la géométrie. Si les codeurs te disent, un trésor a été translaté de Couiza à Coustaussa, ne va pas chercher l’historique. Mais bien plus , les distances, angles etc, entre les églises des 2 villages. Beaucoup d’indices se dénouent comme ça, alors que l’étude historique mène à des impasses, parce qu’elle n’est que solution apparente. Elle mène au découragement des chercheurs. J’essaie de le suggérer depuis longtemps. Et PI c’est tout
Re: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par patrice » 04 avr. 2023, 16:37
Pourquoi l’axe mineur passe-t-il par Vaulx le vicomte et continue jusqu’à Pignerol, La soi-disante prison (
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http://www.rennes-le-chateau-archive.co … jeur_2.php
Descendre le lien jusqu’au chapitre « axe mineur »
Re: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par patrice » 05 avr. 2023, 12:44
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Je sais que je gêne avec ma géographie. Mais, contrairement à l’histoire, qui se lit, s’étudie, la géographie sacrée est avant tout un travail très précis sur carte. Elle s’effectue en s’inspirant des codages de Boudet, PP, etc. C’est une vraie recherche, où les automatismes viennent, petit à petit. Le jour où les chercheurs feront 50% d’histoire et 50% de géométrie sacrée permettra des avancées considérables et insoupçonnées dans cette énigme. Avec la quadrilogie géométrique Gisors-Montségur; Rlcb-Stenay, on voit l’énigme bien différemment. Et s’il n’y avait que ça…Un petit cromlech dans un grand ne parle pas d’autre chose que de triple enceinte. Le centre étant le 1er cercle …Le livre » l’alphabet solaire », présente des pages formidables de Boudet; Le texte avant le livre d’Axat, sur les locutions germaniques etc est très riche, comme vous le dites. Dans les p190-192 de mon édition, Boudet transforme tout d’abord Rennes en ring (anneau, cercle). Puis, il tord complètement le mot Fabies (le hameau) pour le transformer en « cercle(s) », en s’arrangeant avec la linguistique (d’ailleurs, il se fout complètement de la linguistique et la maltraite assidûment). Enfin, il parle de cercles, dus au resserrements des montagnes, qui donnent des lacsVoilà de la matière 1ere pour bosser. Et là, l’histoire ne sert à rien. On est dans de purs codages géométriques
Hélas, on ne peut comprendre qu’en travaillant sur cartes, ce que font si peu. Pourtant, c’est comme ça qu’on apprend pourquoi Versailles, Vaulx le vicomte ou St Antoine l’abbaye (etc), sont à tel emplacement et pas à tel autre.
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Message par crétin premier » 04 mai 2023, 09:43
Salut Philemon et tous les z’ots…
Blanchefort / Blancafort… Ou peut-être Chateaublanc ???
J’avais émis l’hypothèse que la belle Diane de Joannis de Chateaublanc, marquise de Ganges et de Castellane assassinée par ses beaux frères, issue par son père de la lignée des Joannis byzantins et par sa mère de Saint Louis, apparentée aux Montfaucon et, semble t’il, arrière petite nièce de Nostradamus, pouvait être une bonne candidate pour expliquer certaines choses, d’autant qu’elle était mariée à un Vissec dont les armoiries sont « écartelées de sable et d’argent » faisant penser à un échiquier… Sa devise « Sisto non sistor » (vainqueur, jamais vaincu) pourrait être évoquée par Boudet dans la VLC (traduction du basque vainqueur et vaincu)…
Je crois me rappeler qu’une branche des Joannis vivait dans les environs de RlB… Bref, comme tu le dis, c’est bien peu et bien acrobatique…
Maintenant que je sais je m’en pose encore plus…
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Message par C. Alverda » 04 mai 2023, 14:33
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• Elle se réduit à faire d’un deux et de deux un, et rien de plus.
• Y a-t-il dans la maçonnerie quelque analogie qui indique cette opération ?
• Elle est suffisamment sensible à tout esprit qui voudra réfléchir, en s’arrêtant au nombre mystérieux de trois, sur lequel roule essentiellement toute la science maçonnique. »Avec cette dualité à l’oeuvre dans les textes des analogies émergent, on retrouve donc dans le Razès le « carreau du Temple » et ce qu’il induit : « Quand on fixe longtemps du regard un carrelage, un bizarre phénomène optique se produit : au bout d’un moment, l’œil fasciné découvre d’autres figures que celles qu’il avait distinguées tout d’abord ; sans que l’ensemble considéré ait changé, une attention soutenue en a modifié insensiblement la perspective. »
Carrelage qui, dans sa plus simple expression, est l’image du Baucent templier et se démultiplie dans l’échiquier, dont celui de l’église de RlC : « Si nous suivons le regard du diable, nous remarquons qu’il fixe le dallage noir et blanc.. un Jésus de stuc fixe lui aussi l’échiquier. Les deux personnages, le bouc et le bouc émissaire, le diable vert au socle rouge et le Christ rouge au socle vert, certes opposés mais aussi complémentaires… » L’église, dont la symbolique se rapporte d’entrée au Mutus Liber et au Liber M. des R +C avec les deux allusions au Songe de Jacob – et Beth El – à Rennes comme à Gisors.Pour ceux qui savent « lire » on retrouve également, en suivant le Fil d’Ariane (l’areigne), la date du XVII janvier (date de la plus célèbre des transmutations alchimiques) pour la « catin » Rosemonde et pour Roseline, avec un/des tombeau(x) censé(s) être vide(s) pour une – LA – Dame blanche et noire (le blanc étant signe de deuil), ce qui fourvoya rien moins que Eugène Canseliet, qui savait… trop bien « lire » !
Avec les deux reines Blanche, de Castille ou d’ailleurs, on peut aussi ajouter aux bains de Rennes Marie l’alchimiste et son bain-marie gisortien, il y a bien sur les deux tombes Fleury, fleuries avec des roses n’en doutons pas.
Pour les « décodages » on SAIT qu’il faut utiliser les services de l’alchimiste Blaise de Vigenère et transposer le résultat sur deux échiquiers. Le cube – carré élevé à la Puissance ! – de 7 se transpose de Gisors au Razès sous forme de « dé » au singulier, et au pluriel : « …remarquez aussi les dés, démesurément grossis de telle sorte que nous puissions lire les points : 5 et 7. »Il y a bien d’autres analogies à faire, mais je reconnais qu’il faut un minimum de connaissances alchimiques pour les savourer, telles le Diable vu comme « maitresse pierre du coignet » ou encore : le VITRIOL gisortien et le détournement du texte de l’abbé Delmas avec le « nitre ».
C. Alverda a écrit : ↑05 mai 2023, 14:44 je te souhaite une excellente santé cher Cardou, à nos âges c’est bien le seul trésor.Patrice, tu me demandes :
il est intéressant de voir PP attribuer le rôle de roc d ‘échiquier au roc nègre alors que le village assez proche ( Coustaussa) a pour blason le roc d’échiquier aussi.
Y ‘aurait-il un lien?Il y a un lien, mais de quelle couleur est le « gardien du seuil » ?
J’ai évoqué la « dualité » à l’oeuvre dans les deux ouvrages sédiens et De Sède s’exprime en terme de « bipolarité ». Quand dans la première page de L’Or de Rennes on peut lire « … Le Razès. Un ciel bleu et une terre d’ocre rouge, violemment affrontés, semblent y poursuivre sous nos yeux l’insoluble querelle d’héraclite et de Zénon, celle du chaos turbulent et de l’ordre immobile », ce n’est pas qu’un artifice littéraire ! Cela permet d’entrer dans la compréhension de phrases telles que « les ruines, hautes flammèches, de Coustaussa qui, son nom l’indique, est custode, gardien vigilant de ces lieux sauvages », alors que plus loin dans le texte il est affirmé que « … le trésor, très poétiquement partage ainsi l’ubiquité du « château blanc » qui en a la garde. »
Soufre et Mercure (comme Yin et yang) ne sont que des concepts qui fixent une réalité mouvante par « Nature ». Ce qui est fort bien établi par De Sède sous couvert de « légendes ». Je suppose que tu as au moins « Le trésor maudit… » (J’ai Lu) à portée de pinces, c’est page 93.
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Message par patrice » dimanche 14 mai 2023 17:37
patrice a écrit : ↑dimanche 14 mai 2023 15:18 On pourrait dire que Boudet est druidico-catholique mais un druide aussi abracadabrantesque, avec son Carnac, champ d’entrainement de la cavalerie celteA ce niveau, il est fort intéressant de prendre en compte le zodiaque celte en forme de « peigne » à 11 dents (les lignes de menhirs) pour symboliser les 12 signes. Voir cette vidéo originale quant à ses propositions interprétatives de Gillard, Gavrinis, Carnac etc
https://www.youtube.com/watch?v=9FPPsrJXmSo
Minutes 8 à 9 et après 48’30
Le peigne à 11 dents se retrouve dans l’alignement principal du Ménec
La cavalerie (cabale) celte évoluerait dans les 11 dents (signes zodiacaux)A ce propos, Sylvain, la vlc est avant tout pour moi un livre d’astro sur les (2) zodiaques cachés ‘(1 dans la carte, 1 dans le livre), qui éclairent la France secrete. J’ai passé des heures et des heures là-dessus (https://renneslechateaulenigme.clicforu … la-VLC.htm) et je trouve bien de complèter avec tous les auteurs référence de Boudet et Grominet;
Tout le problème est donc que nous partons sur des bases très différentes.
Amitiés
Re: Café de Rennes le Chateau:
Message par patrice » mercredi 17 mai 2023 22:51
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Message par C. Alverda » 26 juil. 2023, 16:42
Philemon a écrit : ↑26 juil. 2023, 13:54 Quand PP veut diffuser son message, il ne s’adresse pas à des hermétistes ou des occultistes qui ont une « pratique du raisonnement analogique et une connaissance du corpus alchimique » mais à des producteurs de la télé anglaise ou à des journalistes spécialistes du polar pour expliquer en quoi Rennes le Château est la capitale secrète de la France, message politique s’il en est !Je ne crois absolument pas à la trilogie… Gisors, Rennes, Stenay… (même si Rennes a peut être provoqué Stenay).Philemon
Philémon,
C’est évidemment le lecteur qui doit avoir une bonne « pratique du raisonnement analogique et une connaissance du corpus alchimique », pas l’écrivain
Comme j’ai essayé de le souligner hier avec humour (mais je ne suis pas doué en la matière !) tu ne t’exprimes, la plupart du temps, qu’en termes de croyances personnelles (je ne crois pas, je pense que) où est l’argumentaire ?
La trilogie Gisors, Rennes, Stenay est pourtant évidente (pour les ésotéristes !). Le langage codé y apparaît commun et il détermine un « triangle isiaque », en ce sens que la figure d’Isis, la Mère Universelle, où la Mère-grand, apparaît dans les trois angles sous les noms de Rosemonde, Roseline-M. M. et Rosmerta ; et c’est dans une sphère (invisible) que ce triangle s’inscrit au centre, au cœur, d’un cristal (le christal alchimique) hexagonal.
Pour les non-initiés à cette « langue verte », P. P. distille un message (toujours le même), en faisant appel aux talents variés d’écrivains, qui peut, ou doit, apparaître politique, comme celui des premiers R + C.
Pourquoi « Rennes le Château, capitale secrète de la France » ? La troisième de couverture est explicite : « J-P Deloux et Jacques Brétigny ont voulu faire le point sur cette extraordinaire histoire. Disposant de documents totalement inédits et de contacts avec les milieux les plus fermés de l’occultisme… » Faire le point ! avec quels documents il faut au moins avoir assimilé le contenu du Gisors pour (re)connaître ce qui est dit dans cet essai-roman et découvrit la véritable nature du « trésor du Grand Monarque ».
Le B. A. BA du décodage de l’Or de Rennes, le « chemin des croix », est certes donné dans le bouquin, mais cela demande un réel intérêt, doublé d’un investissement de temps important ! C’est pourquoi je me permets ce conseil de ne pas considérer l’intervention (supposée) de P.P. dans les romans qui traitent de l’affaire de Rennes, mais par exemple, de simplement considérer si le titre ultra provocateur de « RlC, capitale secrète » est une foutaise sans nom ou à une raison d’être.
La couverture de l’édition « Pégase » de 2006 illustre à merveille le type de mystification ! Elle nous « fait voir » sur fond de paysage un berger avec sa cape appuyé sur son bâton, son chien à ses côtés !
Le chien est le révélateur, c’est un clé-bard’ en langage VLC . Un berger allemand n’est pas un chien de berger, du moins en France
avec de plus le sceau arcadien de P.P. le message DOIT apparaître politique, alors que c’est la reconnaissance de son origine subliminale qui est intéressante parce qu’elle génère non pas une réponse mais un questionnement véritable.
https://th.bing.com/th/id/OIP.MPnOO9gIe … &h=258&c=7
Re: Réflexions sur l’énigme de Rennes le Chateau
Message par léa rosi » 28 juil. 2023, 09:52
Dès 1896, elle prend des dispositions pour léguer un fabuleux trésor contenant 5kg 500 d’or et près de 86 kg d’argent.
Cette succession, hors du commun, va attiser bien des convoitises. Il s’en suivra 2 procès retentissants en 1908 et 1909 où sera disputé cet héritage entre la ville de Toulouse, la Société archéologique, le neveu et exécuteur testamentaire et les héritiers naturels.* Alexandrine-Guilhermine est le second enfant de Paul-Urbain de Fleury, née en 1821 soit deux ans après son frère Henri (1819-1878). A la mort de son père, elle était âgée de 14 ans.
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Message par léa rosi » 28 juil. 2023, 16:22
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Outre ces différents objets, elle lègue surtout à cette société un médailler de grande valeur, estimé à 180 000 Fr de l’époque, un des plus beaux médailler de France.
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Message par léa rosi » 30 juil. 2023, 08:37
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Aux termes des débats, la cour d’appel de Toulouse, du 20 mai 1909, retiendra la volonté initiale de Mme de Fleury, veuve Clausade, de léguer le médailler aux incomparables richesses au musée de Toulouse.
Toutefois , après avoir été conservé de longues années dans le coffre d’une banque, il faudra attendre 1930 pour que le public puisse admirer le fabuleux trésor de la fille de Paul-Urbain de Fleury.
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Message par patrice » 08 oct. 2023, 22:41
https://rennes-chateau.onlc.fr/201-17-j … a-VLC.htmlMais vous êtes un paquet ici à vouloir résoudre cette énigme par le culturel et non l’initiatique. Cette énigme est une énigme de décodage; L’érudition aide mais de façon mineure. Connaitre la géométrie (azimuts, lignes basées sur pi et phi, triple enceinte…), l’astrologie (avec principalement zodiaque (s) projetés (zodiaque =ciel) sur notre sol), l’hermétisme et l’alchimie est bien plus utile que de chercher des références historiques.
La grille alchimique décode sûrement et partiellement GDS PP et leurs livres mais Boudet pratique bien autrement (astrologie essentiellement). Et tout ramener au Razès est une erreur. Le Razès est un rouage d’un vaste ensemble…initiatique! Il est aussi un ouvrage d’alchimie à ciel ouvert…R kaithzine l’avait saisi. Et pas besoin de grille alchimique pour le comprendre. C’est bien plus affaire de vista que d’érudition…
- Un échange avec ma conclusion!
[*] Message par Thierry Espalion » 10 oct. 2023, 11:14
Bonjour à tous,
Puisque la légende du diable du lac de Barrenc a été évoquée, voici une petite observation concrète concernant deux montagnes du secteur de Rennes-les-Bains. Ces deux montagnes ont le point commun d’être le théâtre de légendes liées au diable.
La plus connue est probablement celle du diable de Blanchefort, contée par Mr Labouisse Rochefort. Cette légende est intéressante à plus d’un titre. Elle met notamment en avant le SOLEIL : l’auteur décrit un « beau soleil » et il précise que le diable avait étalé tout son or au soleil. Il ajoute que la Bergère s’était »levée matin » et qu’elle avait ensuite aperçu, l’or étalé au soleil. Ces précisions semblent destinées à suggèrer un LEVER du SOLEIL.
Avant de conter la légende du diable, Mr Labouisse Rochefort avait évoqué « le haut de cette montagne Blanche-fort » et le fait qu’elle doit son nom à la forteresse éponyme. Il écrit même quelques vers dans lesquels il loue les sommets.
Dans toutes ses représentations, le diable porte des cornes. Il existe non loin de Blanchefort, une montagne nommée la »montagne des Cornes ». Ce nom provient de la présence de nombreux fossiles en forme de cornes, mais cette montagne des Cornes est également le théâtre d’une légende associée au diable ! Dès son arrivée à Rennes-les-Bains, Labouisse Rochefort y consacra sa première excursion.
Comme souvent aux abords des Pyrénées, le diable prend ici la forme d’un bouc ou bélier. Il est maître de l’orage et des éclairs, et doué de la parole. Il serait apparu à plusieurs reprises au Lac de Barrenc et il se serait adressé aux humains.
La montagne de Blanchefort et celle des Cornes, ont donc pour point commun d’être associées à une légende impliquant le diable…
Il est alors intéressant d’observer que les sommets de ces deux montagnes, définissent un axe correspondant au lever du soleil le 17 janvier !
Pour ceux qui vérifieront, le sommet de la montagne Blanchefort est indiqué par l’altitude 539 et celui de la montagne des Cornes, situé à quelques mètres du Lac de Barrenc, est indiqué par l’altitude 683. L’axe formé par ces deux sommets est précisément orienté à 119 degrés. 119 est l’arrondi à l’entier le plus proche de l’azimut du lever du soleil le 17 janvier dans le Razès.
Ce n’est probablement pas sans raison si les deux légendes locales associant le DIABLE à une montagne, ont pour théâtre deux montagnes dont les sommets sont liés par le soleil du 17 janvier.
Saint Antoine Ermite est fêté le 17 janvier. Il est lié au diable via ses fameuses »tentations » mais pas seulement. J’ai déjà évoqué son voyage aux Enfers…
Message par patrice » 10 oct. 2023, 14:10
J’ai vérifié pour la ligne sommet Blanchefort-Montagne des cornes, on est bien dans les 119°
On a donc 2 lignes presque paralléles:
-Diable de rlc- (diable de la carte Boudet)- Ermitage St Antoine
-Sommet Blanchefort- Sommet Montagne des cornes.
Tous les lieux sont concernés par le diable. C’est très troublant
Message par patrice » 16 oct. 2023, 09:37
Pour ces 2 lignes à 119°,
Il y aurait donc une ligne « humaine », avec Diable rlc-diable carte Boudet-Ermitage de Galamus St Antoine
Et une ligne dite naturelle, par les sommets…. On retombe là sur un point d’ achoppement de la géométrie sacrée. Quelle est la part des hommes, quelle est la part des Dieux?
J’aime beaucoup cette légende: « il y a des milliers d’années, un géant est descendu sur le mont St Michel et a façonné les contours de nos terres »
De grands secrets, d’ailleurs incorporés à notre énigme mais inaccessibles tant que l’or physique est privilégié à l’or subtil….
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Message par patrice » mercredi 24 juil. 2024 11:30
Je sais que tout cela passe souvent par des librairies ésotériques, qui avaient leur cercle intérieur. C’est plus diffus aujourd’hui, je pense.
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Message par C. Alverda » mercredi 24 juil. 2024 20:46
patrice a écrit : ↑mercredi 24 juil. 2024 11:30
Comment as tu fait pour être formé au décodage? On ne l’apprend pas dans les livres et tu as dû te faire repérer, coopter pour recevoir cette formation. Si ce n’est pas trop indiscret, peux-tu nous raconter au moins partiellement, comment ça se passe dans ces cercles-là?
Je sais que tout cela passe souvent par des librairies ésotériques, qui avaient leur cercle intérieur. C’est plus diffus aujourd’hui, je pense.
Bonjour à toutes et tous,
Salut Patrice,
Je réponds à ce post aussi ahurissant que désopilant surtout à l’adresse de tes pareils qui doivent hanter ce forum , mais je ne peux que me répéter !
Les seuls mots du Mutus Liber (c’est dire leur importance !) sont « Ora, Lege, lege, Relege, labora et Invenies ». Tous les classiques insistants sur la nécessité de lectures répétées, j’ai donc médité sur les ouvrages traitant des secrets de la Nature des XVIe/XVIIe siècles dits de « philosophie naturelle », encore appelés « livres égyptiens ».
Ces textes présentent en effet la particularité de posséder une dynamique interne basée sur la combinatoire des « éléments » et des « principes » afin, selon la Table d’Emeraude, « d’accomplir le miracle d’une chose unique ». C’est pourquoi Nicolas Valois évoque « icelle kabbale traditive », que le « très sage Artephius » énonce : « notre art est cabalistique » et que le Flamel des Figures cite les 22 feuillets de Abraham le Juif….Ce sont évidemment des allusions à la kabbale chrétienne dans l’air du temps et bien propre à illustrer les « transmutations » incessantes de la Nature, rien à voir avec les spéculations fulcanelliennes délirantes !
Ces textes finissent « à la longue » à servir de tremplin (si je puis dire) pour une « contemplation » de la Nature qui, ayant « horreur du vide « , dans nombre de cas apparaît sous les sens – après coup – sous la forme d’une Dame Blanche.
On compte sur les doigts d’une main les ouvrages de ce genre depuis le début du XVIII e siècle et, chose extraordinaire, au milieu du XXe siècle apparaissent Le Message Retrouvé et les deux textes sédiens. Ces deux derniers (cent fois sur le métier !) donnant le mode d’emploi, les « cours de code », pour appréhender leur vraie valeur et s’initier à l’ « alchimie » telle que je l’entends, et pour faire plaisir à grominet P. J. Fabre :
« Ce n’est que par le nom que l’Alchymie et la Philosophie se distinguent, en réalité elles ne diffèrent en rien, à moins de réserver l’Alchymie aux métaux, ce qui ne se peut »
(Propuganculum Alchymiae, 1645)
Mes maîtres ont plus de 300 ans, et oui j’ai rencontré des « buveurs très illustres » dans les librairies ésotériques de Paris, Lyon et Marseille (quasiment tous Maçons ou assimilés), mais le temps de l’Inquisition étant heureusement loin je n’ai connu aucun « cercle intérieur »
J’ai eu l’honneur de préfacer un ouvrage du regretté Henri Giriat qui était plus dans la mouvance Compagnonnique. Voici ce qu’il écrivait dans les fameux Cahiers de Bourgogne :
« … Lorsqu’un homme découvre en lui la conscience d’Être, ce qu’il ressent à travers sa personne n’a plus rien de commun avec la conscience de soi. Tel est l’unique secret. Le secret est de nature ontologique, car seul il dévoile et revoile la réalité de l’Être.
Si je le dis à qui ne l’a pas vécu d’expérience, le secret reste inintelligible, aussi l’Être ne peut être que secret. Aussi le secret n’a point à être caché. Il se protège de lui-même, de par sa propre nature.
[...]
L’objectif de toute initiation n’est autre que d’éveiller ce cœur par lequel je suis – un “je” dénué de tout sentiment d’égoïté et donc totalement humble et sûr – par lequel je perçois l’Être, par lequel j’ai l’intellection de l’Être.
La conscience d’Être porte en elle sa propre suffisance. Elle est, de soi, amour et connaissance. Elle détermine le plus impérieux des amours et la plus généreuse des lumières, ce feu du “Je Suis Celui Qui Suis”, révélé par le Buisson Ardent.
Telle est la racine métaphysique de toute philosophie, de toute religion et de tout art. Philosophie ici comprise comme sagesse d’amour, à la source de toute intellection. Religion ici comprise en esprit et en vérité, comme parole portant pouvoir de transsubstantiation. Art ici compris comme mise en ordre, comme règle de travail, commandant le geste de formation…. »
J’évite de conclure, j’ai un karma chargé !
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Message par patrice » jeudi 25 juil. 2024 11:38
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Les livres d’alchimie que tu cites sont déjà fort difficile à aborder. Et une clé y est glissée qui permet d’expliciter, de complèter ou d’aller plus loin. Tout cela en suivant la logique des éléments et de la nature. PP et de Sède connaisent cet art, visiblement. Gino Sandri aussi. J’ai bien compris, là?Les bornes poséées (que tu appelles codage et bornage rose-croix, il me semble) sur Rlb sont elles liées à ce système de décryptage? J’aurais tendance à dire oui mais je navigue à vue sur ce coup.L’école Trithème-Piobb obéit à une autre logique et possède elle aussi un système de codage très élaboré avec des livres à décoder (Evangiles + apocalypse, quatrains dits nostradamiens etc). Tu ne participes pas à ce courant, si j’ai bien compris. Alors qu’il a son rôle dans l’énigme de RlbcPour ce qui est de Boudet, on a affaire à un autre système, souvent basé sur la balourdise enseignante. Hivert et Murat ont dézmontré l’existence d’un zodiaque caché dans la carte en fin de vlc. Je l’ai étudié et il est hyper intéressant. Pour donner un exemple, Boudet parle de la tête de JC au cap de l’homme. Il suffit de regarder la place du rocher où elle se trouve dans le zodiaque pour voir qu’elle est à 4° capricorne, soit le jour de Noel et naissance de Jc. D’où la raison pour laquelle il invente une trouvaille de Tête de JC à cet endroit. Voilà typiquement comment il faut pratiquer pour décrypter Boudet. Le centre du zodiaque est à la base du A de Artigues dans la carte. Là, je te dis tout et il ne reste plus à chacun de travailler….
Il y aussi un autre zodiaque de crypté, cette fois dans le le texte de la vlc. Et c’est là où Boudet et PP (avec sa fameuse quadrilogie Montségur-Gisord-Rlbc-Stenay) se complètent très bien sur le plan de la géométrie sacrée française.Le 17 janvier participe au plus haut point. L’espace sacré est balisé sur le monde (de différentes façons (Eglises, mégalithes, toponymie enseignante et codée) et dans le Razès très riche à ce niveau.
Le temps a lui aussi ses espaces sacrés, avec des heures et des dates (17 janvier…) qui ont une faculté transcendantale particulière. On ne parle pas du 17 janvier de Flamel par hasard…
Quand je te donne comme élément de décryptage du 17 janvier la trilogie Greenwich-Paris-Arginy, tu es déçu parce que tu ne sais pas rentrer dans ce type de logique « musicale »; Comme j’avoue moi aussi, ne pas savoir rentrer dans ton art de décryptage de certains textes
Tu es très spécialisé dans un art fort respectable. Mais l’énigme dite du Razès associe différents arts (dont le tien) pou former une très belle fresque où alchimie, hermétisme, géométrie sacrée, temps sacré etc se croisent très harmonieusement
e: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par patrice » 06 août 2024, 21:16
crétin premier a écrit : ↑05 août 2024, 20:40Boudet aurait-il lu les 2 opus des aventures d’Alice ???
Finalement il semble que cette école de pensée n’est pas si confidentielle que ça…
Tu as tout juste, C1. Cette école n’est pas si confidentielle. Simplement, elle offre des livres ou des films à clés, qui pour la plupart pourront être lus de façon profane. Et le lecteur ne verra que du feu, il considérera tout cela comme un divertissement.
Boudet sera pris pour un « délireur », contrarié , Alice fera rêver les enfants, comme Jules Verne, Maurice Leblanc etc. Pourtant, toute une trame hermétique, alchimique, géométrique, astrologique est glissée dans ce genre d’oeuvres. Et cela emmène loin si on arrive à décrypter les codes. Il y a d’ailleurs différents types de codes à l’intérieur, d’où des incompréhensions entre décrypteurs. L’un tire un fil, l’autre un autre, ce qui crée la confusion. La réalité est que ce sont oeuvres de haut niveau.
Boudet n’a pas besoin D’alice, lui et/ou ses « conseillers » sont des artistes de grande qualité. L’oeuvre est difficile à pénétrer.
Il y a plusieurs écoles; Le chat Noir à Paris était un repère de ce genre d’artistes. La franc-maçonnerie du 19eme, la Rose croix et les indépendants plus ou moins rattachés ont crypté à tous les niveaux cités au début.
il faut jongler avec différentes sciencs ésotériques pour s »en sortir mais c’est passionnant.
Dans Tintin et le trésor de Rackham le rouge, Les dupont se font pincer les pieds par un crabe, je ne sais plus à quelle page(mon album n’est pas disponible aujourd’hui. Je suis en voyage); Cela fait rire tout le monde! Mais si tu regardes la date où ils se font pincer les pieds par un crabe, tu te rendras compte que c’est le 21 juin. C’est assez facile à vérifier. La signification est simple: le 21 juin, le cancer succède aux gémeaux. Les dupont sont les gémeaux (jumeaux) et ils se font pincer par le crabe parce que ce jour-là, le crabe (cancer) prend le dessus sur les gémeaux (jumeaux). personne ne voit l’astuce d’Hergé mais elle est là, bien visible pour celui qui étudie et non se contente de se divertir
C’était juste un exemple!
Il serait bien que Charly précise sur le roi rouge…
Je confirme, C1, ces écoles ne sont pas rares. Le tout est de lire différemment car elle cachent les racines de la tradition!
e: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par patrice » mercredi 04 sept. 2024 10:57
Cette terre cache une toponymie suggestive autant en langue des oiseaux qu’en données alchimiques et géométriques etc. Un véritable canevas existe pour celui qui sait décoder, trouver l’expression derrière les mots. et quand tu sais faire, la carte s’anime, devient révélatrice d’un tas de réseaux secrets.
Le seul village de La Serpent est ainsi dans le Razès, où cohabitent aussi 2 rennes et un cerf (Serres). C’est juste le début mais c’est déjà explicite.
Les nombres pi et phi sont à prendre en compte et souvent cités tant ils répondent à diverses données géométriques etc, comme dans toute constructions sacrées. Les mêmes nombres comme dans Gizeh mais appliqués aussi au terrain. et parfois sur des centaines de km!!! C’est là que le neimheid est magique! Comment a-t-il pu agir ainsi.? Mais le neimheid « invisible » se charge de « nourrir et d’organiser » les assemblées visibles…
Sur la carte Boudet, une stéganographie zodiacale montre très clairement un zodiaque, qui a aussi son importance. D’ailleurs, la ligne du 17 janvier pointe sur un des 2 tombeaux possibles de St Antoine l’ermite!!! (Lézat sur Léze). Tout est parfait, tout est calibré. Et les angles sont là aussi. Ainsi la langue angle-aise prédomine ici.
Les tableaux de l’église de Rlb ont aussi tant à dire. Et montrent le travail de ceux-ci avant Boudet…. (bonjour à F Daffos et merci, même si il ne connait pas cette clé; en pointant ces tableaux et les lazaristes, il a fait un très bon boulot de défrichage)
L’entrée du cromlech, p 227! Peut-on être plus clair
Le cromlech de 16 à 18, la pièce du livre d’Axat de 1618!!!
Artigues caverne de l’ours et centre du zodiaque. tant de pages de Boudet illustrent parfaitement le travail du neimheid
La page 160 qui nous parle de 220 navires. La page 220 qui nous donne 160. C’est de l’orfèvrerie, avec les 60 (220-160) qui sont là, pour des raisons précises, tout cela glissé entre le 22 (220) et le 7 (160)!!!
Les dresseurs de chevaux aussi archers du côté de Bordeaux. Un beau cadeau de Boudet!
Etc etc,!
Le travail du neimheid est aussi formidable qu’invisible!!!
Tout est dit: cromlech, zodiaque et langue angle-aise!!!
Je pourrais en faire des pages
Re: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Message par patrice » vendredi 06 sept. 2024 17:36
Des lieux sacrés (endormis) sont réveillés lors d’un commencement d’ère, d’autres s’endorment. Certains sont conservés, d’autres mis en sommeil. Le neimheid tisse une nouvelle toile à chaque ère, selon des critères surhumains mais qu’on discerne en partie par la géométrie sacrée. St Antoine est d’une importance majeure dans notre ère….Et je le répète, un de ses 2 tombeaux sur la France, est à 27° capricorne (17 janvier) dans le zodiaque dévoilé par Boudet (et connu des lazaristes avant). L’autre (St Antoine l’abbaye a aussi une fonction très importante etc)
Le neimheid organise la toponymie sacrée à chaque ère donc. et plus l’ère avance, plus elle devient précise dans les noms de lieux suggérés.
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